Le monde est petit

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il y a 6 ans

Le monde est petit

J'avais depuis longtemps envi de franchir la porte d’un sauna gay. Je suis bi mais mes dernières relations masculines remontent maintenant à plusieurs années.

Lors d’un déplacement professionnel dans une grande ville du sud-ouest, alors que je flâne avant d’aller diner près du centre-ville pas très loin de mon hôtel, je passe devant une façade où une simple petite plaque indique ‘’Sauna’’. L’entrée est discrète et je vois un homme en sortir, me laissant apercevoir un petit hall avec un guichet. Je consulte rapidement internet sur mon Smartphone pour confirmer mon idée : c’est bien un sauna gay, visiblement renommé dans cette ville. Je ne réfléchis pas bien longtemps et je me présente devant la porte. Un coup de sonnette et je rentre. Quelques minutes plus tard, je suis devant mon casier en train de me dévêtir, puis je me dirige vers les douches après avoir attraper ma serviette. Je passe tout près d’un énorme jacuzzi où j’aperçois deux hommes en train de s’embrasser. Sur un grand écran plat, une bite énorme est en train de gicler dans une bouche grande ouverte. Sous les douches à l’italienne, un homme se savonne et me regarde me glisser sous l’eau chaude. Son regard descend sur mon bas ventre. Ma queue déjà dressée durcit encore un peu. Je reste sous le jet d’eau un moment, appréciant d’être ainsi à la vue d’inconnus. Je me dirige vers le sauna en gardant ma serviette à la main. Je sens des regards sur moi … et j’aime ça ! L’endroit est sombre et je reste près de la porte le temps de pouvoir distinguer les quatre ou cinq occupants.

Je me glisse vers le fond où j’ai aperçu une place. Une main touche mes fesses, une autre mes couilles. Je bande maintenant comme un fou. Je m’assois près d’un gars qui se caresse. Sa queue dressée me semble très grosse. Il me regarde puis tend la main vers mon sexe. Il me saisit la bite pour la branler doucement. De l’autre côté, je sens une cuisse contre la mienne, puis une main me caresse les couilles. Je m’adosse contre la paroi bien chaude en avançant un peu le bassin. A mon tour, je glisse mes mains vers les sexes dressés. Me voilà en train de branler deux belles queues alors que mon voisin de droite s’est penché vers moi pour embrasser mon épaule avant de s’approcher de mon visage. Je sens ses lèvres sur ma joue.

Elles sont douces. Je tourne la tête. Elles sont près de ma bouche. Des doigts touchent mes tétons durcis. Je penche un peu la tête. Les lèvres sont sur les miennes. Une langue inquisitrice s’immisce entre elles. Je suis aux anges, proche de jouir après seulement quelques minutes dans ce lieu. Je parviens à ralentir les caresses sur ma queue en attrapant les mains baladeuses. Mes deux compagnons comprennent le message et délaissent un moment mon membre tendu. Mes couilles retrouvent des doigts agiles avant qu’ils ne glissent entre mes fesses tandis que mes deux tétons durcissent encore un peu sous la pression. On soulève ma jambe, ouvrant largement le compas de mes cuisses pour donner accès à ma rondelle aux doigts fureteurs. Une bouche a remplacé les doigts sur un téton qui s’allonge sous la sussions avant d’être agrippé par des dents.

La première phalange d’un doigt s’est maintenant introduit dans mon anus, me faisant lâcher un gémissement de plaisir malgré la bouche toujours envahie de cette langue gourmande. J’ai repris en main les membres de mes voisins qui ne se laissent pas distraire de leurs caresses. L’intrusion anale se fait maintenant plus profonde, caressant mes chaires intimes en provoquant des frissons irrépressibles. Je vais jouir par leurs attouchements si je me laisse aller entre leurs mains expertes. La chaleur du lieu devient presque insupportable.

  • je ne veux pas jouir tout de suite… dis-je entre deux gémissements, je viens juste d’arriver ….

  • Tu es trop bonne, me souffle dans l’oreille la bouche qui m’a embrassé … viens faire un tour avec moi ….

Il se lève en me tirant le bras. Une fois encore, des mains baladeuses se promènent sur mes fesses.

Nous passons devant le jacuzzi pour suivre un petit couloir bordé d’alcôves qui nous mène vers un autre jacuzzi, humide celui-là. La fraicheur du couloir me fait du bien, même si je frissonne un peu dans la fraicheur relative. Mes tétons réagissent en se figeant encore d’avantage. Mon amant se colle à mon ventre en les caressant.

  • Tu es chaude comme la braise … ça te dit de descendre ?

  • Qu’y a-t-il en bas ? c’est la première fois que je viens

  • Des tas de coins tranquilles … ajoute-t-il en me prenant par la taille.

Je bande toujours et la serviette accrochée à mes hanches peine à le dissimuler. Dés le bas des marches, on entend les bruits caractéristiques de baises effrénées. Il me guide vers le fond du dédale de couloirs où l’obscurité presque totale augmente encore le degré d’excitation. On sent la présence des corps tout autour de nous. Je sens partout sur mon corps le touché des mains. Contre mes cuisses, mes fesses, les contacts multiples m’électrisent. J’écarte légèrement les bras pour sentir moi aussi les virilités dressées vers nous. A ma droite, des gémissements profonds m’attirent. Je m’approche un peu et distingue des corps collés. Mon amant se colle dans mon dos, sa queue plaquée contre la raie de mes fesses que je tends instinctivement vers lui. Mes mains sont sur un dos. Je glisse vers son ventre pour descendre vers le sexe. La queue dressée est branlée par plusieurs mains.

  • Tu veux la sucer, me glisse à l’oreille mon amant vigoureux avant de me pousser vers cette barre de chair.

Je me penche vers elle à l’aveugle en ouvrant la bouche. Je me guide en agrippant cette belle bite à pleine main et attrape enfin le gland gonflé entre mes lèvres. Le goût est enivrant et la prend à pleine bouche. Ainsi penché en avant, j’offre mes fesses aux caresses profondes et déjà plusieurs doigts me travaillent la rondelle. Je me sens m’ouvrir sous ces assauts, invitant ainsi mon amant à aller plus loin. Quelqu’un s’est glissé à mes pieds et ma queue est maintenant happée par une bouche gourmande. Le traitement une nouvelle fois m’emmène proche de l’explosion. Je me redresse pour échapper un instant à ces sollicitations expertes. Dans mon dos, mon amant s’est une nouvelle fois collé à moi. Il me pousse doucement vers le coin de cette pièce.

  • Suce moi me dit-il en m’appuyant sur mes épaules.

Agenouillé entre ses cuisses, je le prends en bouche tout en lui caressant les couilles. Le feu de mon ventre s’apaise un peu pendant que je savoure ce membre dressé. Je ne peux résister de prendre en main une autre queue, trop heureux de me trouver dans cette situation. Je sens mon amant frémir sous ma langue. Va-t-il jouir dans ma bouche ? sur ma figure ? il me redresse et nous dirige vers une petite pièce voisine. Une banquette occupe toute la largeur. Une faible lumière rouge crée une ambiance feutrée. Il m’embrasse une nouvelle fois tout en fermant la porte. Nos membres dressés se frottent. Il ouvre l’enveloppe d’une capote et me la tend. Je la déroule sur sa queue luisante pendant qu’il me dit :

  • Tu as vraiment un petit cul de salope … tu aimes te faire traiter de salope, hein ?

  • Oui…

Il s’allonge sur la banquette en m’invitant à le rejoindre. A prés m’avoir embrassé une nouvelle fois, il se redresse pour se mettre entre mes cuisses. Il relève mes jambes très hautes en me prenant sous les genoux. Il me lèche les couilles puis toute la raie avant de s’attarder sur ma rondelle que je sens frémir à son contact. Il y place son gland et appuie tout en me regardant dans les yeux. Je me sens m’ouvrir doucement. Je pousse pour mieux accueillir encore ce chibre puissant. Je ferme les yeux un instant en basculant la tête en arrière. Je me tiens les cuisses ouvertes. Je savoure le glissement de son membre contre mes chaires intimes. Il s’avance en moi lentement mais fermement. Mon anus bien préparé l’avale sans douleur. Il me tient par les hanches pour continuer son effort jusqu’au bout, jusqu’à ce que son ventre se plaque sur mes fesses. Empalé sur son pieu, je retiens ma respiration un instant tout en me contractant sur lui.

Quel plaisir d’être ainsi possédé par un membre viril. Il se recule un peu avant de revenir. Il recommence encore et encore, reculant toujours davantage pour mieux replonger dans mon ventre. Chaque coup de rein m’arrache un râle de plaisir. Sur mon ventre je sens ma queue reprendre de la vigueur. L’intrusion ce gros chibre m’avait fait un peu débander. Je tire sur les genoux pour mieux m’offrir encore, pour mieux m’ouvrir à ses assauts. Il me laboure profondément. Je me sens transpercé, traversé par sa queue. Chaque à-coup fait taper ma bite sur mon ventre. Je bande maintenant à nouveau comme un fou. Il m’attrape par moment les couilles à pleine main pour les malaxer puis les délaisse pour attrape mes tétons. Il me trait de tous les noms, de salopes, de petite pute, de garage à bite. Ses coups de rein se font de plus en violant et profonds.

Je le sens se raidir encore. Il grimace tout en s’agrippant ma poitrine, gémissant entre ses dents tout en restant planté au plus profond de mes entrailles. Sa queue se contracte en saccades. Il est en train de se vider en moi. Il reste un instant figé en tirant sur mes hanches puis relâche sa prise pour se coucher sur moi. Je croise les chevilles dans son dos alors qu’il s’allonge sur mon ventre, emprisonnant ma queue toujours dressée. Il m’embrasse longuement alors que je le sens glisser hors de moi. je le libère de mes jambes et il roule à côté de moi. il attrape ma bite pour la caresser doucement.

  • T’es un super coup, tu sais … tu n’as pas joui encore mais ce n’est pas fini pour toi …

Il me sent me raidir entre ses doigts et relâche sa prise.

  • Doucement … doucement … tu vas prendre ton pied aussi, mais je veux te garder encore un peu excité comme une folle..

  • Mais j’ai trop envi…

  • Je sais bien et c’est pour ça que ça sera meilleur après !

Il se redresse et se débarrasse de sa capote. On se dirige vers les douches. Je bande toujours très fort et cela me vaut quelques caresses de ceux croisés dans les couloirs. Alors qu’il me savonne les fesses, mon amant me dit :

  • Au fait, moi c’est Seb

  • Paul, dis-je en me retournant

Il m’embrasse encore, les mains toujours sur les fesses, ma queue prisonnière entre nos ventres.

Il m’entraine ensuite vers le bar où une dizaine de mecs discutent autour d’un verre. Devant notre bière, assis sur une banquette, Seb s’est collé contre moi, sa cuisse contre la mienne et sa main glissée très haut sous la serviette. Du bout des doigts, il joue avec mon gland turgescent. Il étale le liquide séminal, caresse mon frein. Je suis encore au bord de la jouissance. Il joue avec mon excitation extrême. De l’autre côté de la pièce, deux mecs nous regardent avec un sourire amusé. L’un d’eux a ouvert sa serviette et se caresse en me regardant. Au bar, un jeune baraqué me regarde aussi, sa queue dressée vers moi.

  • Tu vois comme ils te regardent … tu es une petite pute en chaleur et ils le sentent bien …

Dans mon état d’excitation je suis prêt à tout entendre, à tout faire peut être, pour jouir enfin. Je pourrais me branler ici, ou aller dans un coin tranquille mais ce petit jeu est délicieux.

  • Tu as déjà joui par le cul, me demande Seb en refermant sa main sur mon gland prêt à exploser.

  • Par le cul ?... comment ça ?

  • Tu jouis … tu jutes rien qu’en te faisant prendre le cul par une belle bite !

  • Non … jamais …

  • Ça te dirait d’essayer ? ajoute-t-il en reprenant ses caresses sur mon gland

  • Comment veux-tu que je dise non !

  • Je vais te faire jouir par le cul une fois que nous serons retournés en bas … mais pour y aller, tu vas nouer cette serviette autour de la taille, comme une ceinture et non pour te cacher les fesses.

Il me tend une serviette plus fine que celle donnée à l’entrée.

  • Tu veux jouir par le cul comme une bonne petite salope, tu dois te comporter comme telle. Avec cette serviette, tout le monde saura ce que tu es vraiment. A chaque fois que tu sentiras quelqu’un derrière toi avec une queue contre tes fesses, tu te laisseras faire. Il te prendra par derrière. Il jouira ou pas mais tu te laisseras faire. Je serais la tout le temps. Personne ne te touchera la queue, ton gros clito en fait, même pas toi. Tu as compris ?

  • Heu oui ….

  • Ne t’inquiète pas. Quand on arrivera en bas, tu auras tellement envie de ma queue dans ta chatte que tu mouilleras du cul !

Il se léve et me tend la serviette. Je la noue autour de ma taille et le suis. Il s’arrête devant le grand écran qui fait face au jacuzzi où les images montre un jeune en train de se faire prendre par deux queues.

  • Tu as déjà essayé une double ?

  • Une double ?

  • Oui, une double sodomie, comme ça ! dit-il en désignant l’écran

Alors que je regarde ces deux grosses queues glisser entre les fesses de ce tout jeune homme, deux mains se posent sur mes hanches. Tout de suite, une belle bite se plaque contre mes fesses. Je regarde Seb qui me fixe. Des doigts se glissent entre mes fesses et fouillent déjà mon anus. Presque instinctivement, je me cambre en écartant un peu les cuisses. Mon regard rivé à celui de Seb, je me laisse prendre par cet inconnu dans mon dos. Une pression sur ma rondelle par un gland assez gros puis un coup de rein qui le plonge dans mes entrailles me fait gémir rapidement. Seb s’est penché vers moi pour m’embrasser à pleine bouche. On me fait lever une jambe pour poser mon pied sur l’accoudoir d’un siège placé sous la télévision. Me voilà bien placé pour recevoir les coups de boutoir de ce mâle vigoureux qui accélère rapidement avant de se figer contre mes fesses. Je ne bouge pas, attendant qu’’il se dégage de lui-même. Seb saisit délicatement mon gland pour recueillir ma mouille.

  • Je suis content de toi … tu joues ton rôle bien à fond … tu es vraiment bandante !

Nous descendons l’escalier non sans avoir croisé quelques personnes, mais qui n’ont pas montré de volonté de me prendre. J’ai l’impression d’être comme du bétail pour la saillie, une chienne que l’on présente à des mâles en rut. A peine arrivé en bas, je suis retenu par des mains fermes qui me plaquent contre un ventre tout aussi dur. Je me retrouve empalée sur une grosse queue en un rien de temps. Il est vrai que je suis lubrifié et ouvert à souhait. Seb sourit et me travaille les tétons en les roulants entre ses doigts.

Trois ou quatre bites plus loin, nous arrivons enfin au fond de ce corridor. Je bande comme un fou, excité par toutes ces queues et ces caresses. Je me plaque contre Seb et l’implore de me prendre. Il joue encore un peu avec mon gland ruisselant maintenant. Il me tend son doigt humide de ma mouille

  • Goutte moi ça maintenant, tu ne lui trouves pas un gout un peu différent ?

  • Si … peut être…

  • Tu es trop excité pour apprécié … tu es prête à jouir maintenant.. ton foutre est prêt à jaillir

A peine couché sur la banquette, il me prend sauvagement. Il n’a pas pris le temps de fermer la porte et déjà deux mecs s’avancent. Il me prend à quatre pattes en me tenant fermement par les hanches. Je sens son gland me labourer mes chaires intimes, passer sur ma prostate et buter au fond de mes entrailles. Ma queue bat la cadence entre mes cuisses. Je sens ses couilles sur les miennes quand il plaque son ventre contre mes fesses. Les mecs se sont glissés à côté de moi et me tendent leur bite dressée. J’en prends un en bouche, pousser par Seb pour l’avaler le plus possible.

Mon ventre s’enflamme, embrase mon anus en provoquant de grands frissons tout le long de mon dos. Le deuxième mec me tire sur les tétons, provoquant encore plus de tremblement. Je gémis, je râle de plaisirs malgré la queue au fond de ma gorge. Je me laisse emporter par toutes ces nouvelles sensations qui explosent dans mon cul, poussant dans ma bite en feu ma semence si longtemps retenue. J’explose dans un long cri étouffé en giclant plusieurs jets fournis. Seb me lime encore un instant, jusqu’à jouir à nouveau pour enfin se laisser glisser à côté de moi.

Je suis exténué, vidé. Je voudrais dormir là, tout de suite. On se traine jusqu’à la douche qui nous revigore. Je ne sais pas quelle heure il peut bien être mais je prends congé de Seb, qui me donne son téléphone. ‘’si tu reviens par ici, fais-moi signe ! tu es trop bonne !’’ En passant devant le guichet où je laisse mes claquettes, le gars me lance ‘’super soirée, hein ? Reviens quand tu veux, j’ai trop aimé te prendre devant la télé !’’

Me revoilà dans la rue, comme si je sortais d’un rêve. Je rentre à l’hôtel en me remémorant cette soirée de dingue. Je rentre dans ma chambre à nouveau excité. Je me déshabille rapidement en me branle avant de dormir.

J’ai dormi comme un bébé et je me rends à mon rendez-vous de 9 heures.

  • Bonjour monsieur S, content de vous voir. Je vous présente monsieur R , il sera votre contact privilégié pour notre affaire.

Devant moi, Seb me tend la main.

  • Enchanté monsieur S, je vous souhaite bienvenue dans notre ville.

Je suis retourné une à deux fois par mois dans cette société pendant près d’un an. Je n’avais pas besoin de prendre une chambre d’hôtel et je suis devenue un habitué de ce sauna !

Paul31

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